Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Ils ont mauvaise presse les bougres, mal éduqués, ils “soulèvent le tapis” pour glaner quelques glands et insectes mais oublient de remettre l’herbe en place.
Quelle plaie ces bestiaux… Prédateurs ? Probablement, comme nous tous, mais sont-ils dangereux au quotidien au point de penser devoir les éliminer ?
Si on devait rétablir la peine de mort à chaque fois qu’un prédateur détruit la propriété d’autrui à chaque émeute, bris de vitrine et embrasement de véhicule, l’humanité de la démocratie ne serait qu’un lointain souvenir.
Ce matin, comme régulièrement à l’automne et au printemps, ces gros cochons noirs velus s’en sont pris à notre belle pelouse rustique et ont soulevé de leur groin fouineur quelques mètres de terre.
Certains auraient appelé à une battue, mais nous avons sorti l’arme fatale : LE RATEAU !
Bilan
En dégainant son fusil, le chasseur prend du poids et perd un peu de vie (une partie de chasse se termine, si elle ne commence pas, autour d’une bouteille)
En dégainant son râteau, le jardinier gagne encore un peu de longévité en s’assurant une santé de fer.