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La cheminée dans la ‘chambre du piano’ est intégralement libérée de son ciment pour laisser, nous l’espérions, apparaître la pierre, mais la surprise est de taille (et non, ce n’est pas le trésor de Kerbeleg…) lorsque nous découvrons un enchevêtrement de poutres dévorées par les insectes et un amas de torchis friable qu’il va falloir remplacer très rapidement par de la bonne pierre du petit mur et un ciment à la chaux pour que le ciel (cheminée et plafond) ne nous tombe sur la tête. Parole d’ancien prêtre (notre maître d’œuvre Olivier qui a tombé la soutane et repris son habit d’architecte) : “Elle ne tenait que par l’opération du saint esprit“. La référence nous a paru valable de la bouche d’un connaisseur en la matière et au vu des clichés qu’il nous fait passer à Singapour en notre absence…